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Amis de La Seyne Ancienne et Moderne
 
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Galerie de photos : Souvenir des 9 « Balades Santé Patrimoine » organisées à ce jour
 

- 9 novembre 2019 : « Oppidum de La Courtine à Olioules, le télégraphe Chappe et des sites patrimoniaux »

- 4 mai 2019 : « Glacière Pivaut  Mazaugues et vieux Rougiers »

- 20 octobre 2018 : « Chartreuse de Montrieux »

- 21 octobre 2017 : « Chemin médiéval de Toulon à Marseille »

- 22 avril 2017 : « Parc de Saint-Pons »

- 24 septembre 2016 : « Chartreuse de La Verne et Sommet du Péra »

- 23 avril 2016 : « Siou-Blanc : haut lieu de la Résistance varoise »

- 30 janvier 2016 : « Riboux, le pastoralisme, les bergeries de Sud-Sainte-Baume »

- 26 septembre 2015 : « Châteauvallon »





Photos : Damien Di Savino, Alexandra Lieutaud et Jean-Claude Autran  






4 mai 2019 : Mazaugues, la glacière Pivaut, les ruines du vieux Rougiers


1) La glacière Pivaut





Une fougère : le Cétérach officinal
(Ceterach officinarum Willd)

Une orchidée à fleurs blanches : le Céphalantère à feuilles en épée
(Cephalantera xiphophyllum (Ehrh) Rchb.f., ou ensifolia Rich.)

2) Les ruines du vieux Rougiers







20 octobre 2018 : La Chartreuse de Montrieux
Balade vers la source de la Vierge et dans la forêt de Montrieux


Photos : J.-C. Jauffred













21 octobre 2017 : Chemin médiéval de Toulon à Marseille
[Initialement prévue le 28 janvier, la balade avait dû être reportée au 21 octobre en raison des conditions météo]



Photos : Bernard Argiolas, Jean-Claude Autran et Gilbert Paoli 
Rassemblement sur le parking devant l'église Sainte-Anne-du Castellet
Église Sainte-Anne-du Castellet
Ruines de l'auberge-relais de Caday
« L'auberge-relais de Caday était fréquentée par les usagers du chemin médiéval, mais aussi par tous ceux qui empruntaient les sentiers des vallons descendant du plateau du Camp. La clientèle était composée de cochers, voyageurs, charretiers, bouscatiers, résiniers, chaufourniers, charbonniers et autres brigands. L'approvisionnement en eau posait quelques problèmes, la Font de Mars étant située à 700 mètres de l'auberge. Les deux citernes ui stockaient l'eau de pluie avaient une capacité de 20 et 30 mètres cubes. L'écurie pouvait abriter 4 à 5 chevaux. La grande salle de 50 mètres carrés servait de réfectoire » (Guide du randonneur).
Ancien four à pain de l'auberge-relais de Caday
« Le four à pain, la bergerie sitée à proximité de l'auberge, plus les cultures traditionnelles, vignes, oliviers et céréales, laissent à penser que cette auberge pouvait vivre en autarcie ».
Bruyère à fleurs nombreuses (Erica multiflora L.)
Myrte commun (Myrtus communis  L.)
Gousses de Baguenaudier, Séné bâtard, ou Arbre-à-vessies
(Colutea arborescens  L.)
Four à cade (altitude 227 mètres)
Différentes vues du four à cade
La Font de Mars
« La source de Mars sourd en dessous d'un banc de rochers remontant vers le nord. Le chemin médiéval faisait partie du tronçon de carraire allant de la Font de la Ragle à la Font de Mars long de 1967 mètres. Les troupeaux pouvaient s'y abreuver. Le dieu Mars est souvent associé aux nymphes des eaux que l'in retrouve dans Telo-Martius, Telo étant une déesse des Celto-Ligures » (Guide du randonneur).
Pistachier térébinthe, Térébinthe, ou Pudis (Pistacia terebinthus  L.)
Globulaire Alypum, ou Turbith (Globularia Alypum  L.)
Ajonc d'Europe, ou Landier (Ulex Europæus  L.) qui a souffert de la sécheresse
Arbousier ou Arbre-aux-Fraises (Arbutus Unedo  L.)
Cherchez l'erreur : une grappe de baies de Salsepareille a (Smilax aspera  L.) au milieu des fruits d'un Arbousier
Ruines à proximité du four à poix
Four à poix double
Différentes vues du four à poix
Caladage de l'ancien chemin médiéval
« En 972, après la victoire de Guillaume le Libérateur, comte d'Arles sur les Sarrasins, les vicomtes de Marseille se voient attribuer la seigneurie de Toulon dont fait partie La Castellet. Afin de pouvoir défendre cette nouvelle possession, il est alors indispensable de la relier au siège la vicomté. Ce chemin devait être adapté au déplacement de l'armée de l'époque composée d'infanterie et de cavalerie. Des points d'eau réguliers, sources, puits ou rivières doivent donc ponctuer ce parcours. Il (...) fait halte à l'auberge-relais de Caday. Distance de Toulon : 29,3 km mi-parcours. Il remonte le vallon de la Font de Mars (source). le caladage est encore bien marqué sur quelques dizaines de mètres » (Guide du randonneur).
« Cet itinéraire fut utilisé jusqu'en 1647, date à laquelle le Chemin Royal a été aménagé définitivement. Il correspond approximativement au parcours de l'actuelle route nationale 8 ».
Différentes vues du four à chaux
Pique-nique à côté du four à chaux
Vue en direction du sud depuis le point le plus élevé du sentier









22 avril 2017 : Parc de Saint-Pons et Prieuré de Saint-Jean-de-Garguier


Parc de Saint-Pons

Photos : Gérard Paoli et Jean-Claude Autran 


Après-midi : Visite du prieuré de Saint-Jean-de-Garguier


Et c'est la fin de cette autre belle journée






24 septembre 2016 : Chartreuse de La Verne et Sommet du Péra




Photos : Damien di Savino
En arrivant sur le parking à environ 500 m de la chartreuse de La Verne - Regroupement des troupes
Sur l'esplanade de la chartreuse
Départ de la boucle à pied d'environ 5 à 6 km,  côté sud-ouest et ouest -  Retour à la chartreuse in fine
 Avec moult explications détaillées de Jean-Michel, chef d'excursion avisé
Un arbuste de houx (un vrai) avec ses petits fruits rouge vif
Vue sur la chartreuse de La Verne au début de la boucle côté sud-ouest
(Fondée au XIIème siècle,
classée monument historique en 1921, la chartreuse dont les bâtiments des XVIIe et XVIIIe siècles étaient en ruines il y a encore peu d'années, a été complètement restaurée entre 1968 et 2013 pour lui redonner son aspect d'origine)
Le sol des environs est constitué de micaschistes avec parfois intercalations de gneiss. Ces roches, pailletées de petites particules de mica, ont fourni l'essentiel des matériaux nécessaires à la construction de la chartreuse de La Verne
Vue sur le lac et le barrage de La Verne

Une grande euphorbe (Euphorbia Characias) avec, sur la tige de gauche, la magnifique chenille du papillon qui vit sur cette plante, le Sphinx de l'Euphorbe
Belle vue sur la chartreuse de La Verne au début du parcours, côté sud-ouest - La chartreuse est entourée d'une immense châtaigneraie sur un terrain très accidenté
Les arrêts d'attente de groupe - C'est vraiment une promenade
Jean-Michel a vraiment fait exprès de montrer son profil qui prouve qu'il a des ancêtres d'origine hellénistique, d'où l'hilarité des autres marcheurs, pour cette subtilité improvisée
Vue d'ensemble de la chartreuse d'un point plus haut
A la mi-parcours, au moment du repas sous les arbres
A la mi-parcours, au moment du repas sous les arbres
Après le repas, visite de la chartreuse - Le superbe portail monumental en serpentine flanqué de deux colonnes annelées soutenant un fronton triangulaire
Par cette porte située sur le flanc gauche de la chartreuse, au pied de la grande tour sud-ouest, on entre dans le musée qui fait revivre les grandes heures du monachisme de La Verne
Dans le hall d'entrée
On commence la visite par le fond de cette pièce
 Vue extérieure de la chartreuse
Cette salle servait autrefois au stockage des fruits, légumes et réserves diverses. Reconstruite il y a quelques années, elle permet l'accueil des visiteurs et expose les travaux d'artisanat des moniales qui vivent du travail de leurs mains.
Le four dont on croirait qu'il est en marche
Les remparts extérieurs
Le petit cloître avec, à gauche, ses arcades en serpentine
La chapelle intérieure - Photos interdites pendant les offices
Pré intra-muros servant de cimetière
Dans sa cellule, c'est-à-dire ses appartements ou sa chambre, le moine prie, travaille, se nourrit et dort sur son cubiculum (lit de planches portant une paillasse). Ses rares sorties le conduisent en général à l'église
Atelier de moine avec un tour à bois
Passage extérieur avant de finir la visite
Et une dernière belle vue d'ensemble avec un éclairement d'après-midi







23 avril 2016 : Siou-Blanc : haut lieu de la Résistance varoise





Photos : Jean-Claude Autran et Michel Havard
Rassemblement sur le parking de la ferme de Siou Blanc
Plaque commémorative du maquis de Siou Blanc et du sacrifice de dix jeunes maquisards
Gérard prend une première photo du site
A l'intérieur du premier étage de la ferme
Nous sommes surle plateau de Siou Blanc, un plateau karstique truffé d'avens et avec de paysages dolomitiques
Bernard ne craint pas de poser devant cet abri sous roche
On arrive à la la citerne du Gouvernement qui jouxte la stèle rendant hommage aux Résistants fusillés en juin 1944
Rappel des évènements :

Le Comité Départemental de Libération du Var, qui était basé à Toulon, confia au chef départemental des FFI, le capitaine Salvatori, le soin de mettre en place les bases d’un maquis proche de Toulon pour intervenir rapidement le jour où l’ordre de mobilisation serait reçu. Ce maquis fut préparé au nord de Toulon, sur le plateau de Siou-Blanc, entre les communes du Revest et de Signes.

L’ordre de mobilisation intervint le 6 juin 1944. Près de 4 à 500 maquisards de Toulon et des environs se rassemblèrent donc aux emplacements prévus dans l’attente du débarquement que l’on croyait imminent en Méditerranée (ferme de Siou-Blanc, la citerne du gouvernement, Valbelle et Fiéraquet). Le centre des Compagnons de France de la Pinède replié à Chibron (Signes) fut "attaqué" le 8 juin pour récupérer des couvertures, des vivres, du matériel de cuisine et une camionnette. Plusieurs jeunes ainsi que deux gendarmes rejoignirent le maquis. Le 15 juin, l’exploitant de la ferme de Roboeuf, dans la zone de rassemblement du maquis, considéré comme suspect, fut arrêté par les maquisards.

La situation du maquis devint vite critique puisque le débarquement n’eut pas lieu : manque d’eau, manque d’armes, aucun des parachutages promis (sauf un, qui n’était pas destiné au maquis, récupéré vers la Sainte-Baume) et surtout la certitude que les Allemands se préparaient à réagir. En effet, non seulement les mouvements d’hommes n’étaient pas passés inaperçus, mais encore le CDL avait appris que la femme de l’un des responsables de la mobilisation s’apprêtait à tout dénoncer aux Allemands (cette personne fut exécutée sur ordre du CDL). L’ordre de dissolution du maquis fut donné le 16 juin et, dans l’ensemble, cette phase délicate se déroula bien. Mais, le groupe de jeunes gens des Forces Unies de la Jeunesse (FUJ) qui se trouvait à Roboeuf fut intercepté lors de sa descente par les Allemands qui stationnaient à Château Chancel (commune de Sainte-Anne d’Evenos). Les huit prisonniers furent fusillés le 17 juin à l’aube à La Rouvière, sous la commune du Castellet. Leurs corps ne furent retrouvés que le 18 septembre. De plus, deux autres maquisards furent tués dans les bois de Méounes le 20 juin.

Liste des tués dont les noms figurent sur le monument commémoratif :

Le Castellet :
ABRAINI Pierre, 21 ans, Toulon, traceur sur tôles, FUJ.
CARPE Jean, 19 ans, Toulon, mécanicien, FUJ
DELAGE Georges, 20 ans, Toulon, manœuvre, FUJ
FIET Jean, une vingtaine d'années, Toulon, FUJ.
GIANNOLI Pierre, 19 ans, Toulon, FUJ
GUERRINI Jacques, 18 ans, Toulon, ouvrier miroitier, FUJ.
LEVINE Roger, Toulon, FUJ.
SEGHETTI Roger, 24 ans, Toulon, FUJ.

Méounes
LOUIS Roger, 18 ans, Fréjus, FFI.
X inconnu

« PASSANT en arrosant les arbres plantés à leur mémoire tu marques ainsi ta reconnaissance de ceux qui sont tombés pour le pays »
« Les TURCOS - En hommage aux F.F.I. qui par leur sacrifice tracèrent le chemin de la LIBÉRATION - AOÛT 1944 »
Au premier plan, la citerne du gouvernement



Pique-nique à la « Citerne Neuve »



Une rencontre inattendue sur le sentier ET 10 par lequel nous rentrons
Le clou du spectacle de la journée : la rencontre avec un renard...
... qui nous tourne autour et ne dédaigne pas la nourriture qu'on lui envoie
... et n'a absolument pas peur de s'approcher
Vestiges de murailles construites par les moines chartreux qui délimitaient autrefois le vaste domaine de Valbelle
Quelques traces de passage de sangliers qui semblent curieusement s'attaquer aux racines résineuses des pins

Quelques plantes rencontrées au cours de cette balade à Siou-Blanc

Photos : Jean-Claude Autran 
Ceterach officinal (Ceterach officinarum Willd.)
Mélitte à feuilles de Mélisse (Melittis Melissophyllum L.)
Globulaire vulgaire (Globularia vulgaris L.)
Valériane tubéreuse (Valeriana tuberosa L.)
Hélianthème à feuilles de Polium (Helianthemum polifolium DC.)
(Probablement) Hélianthème d'Œland (Helianthemun Œlandicum DC.)
Narcisse des poètes (Narcissus poeticus L.)
Euphorbe des bois (Euphorbia silvativa L.)
Euphorbe à tête jaune d'or (Euphorbia flavicoma DC.)
Genêt d'Espagne (Genista Hispanica L.)
Renoncule bulbeuse ou Bouton d'or (Ranunculus bulbosus L.)
Potentille rampante ou Quinte-feuille (Potentilla reptans L.)
Amélanchier à feuilles rondes (Amelanchier rotundifolia (Lmk) Koch)
Aphyllante de Montpellier (Aphyllantes Monspeliensis L.)
Saponaire Faux-Basilic (Saponaria ocimoïdes L.)



30 janvier 2016 : Riboux : le pastoralisme, les bergeries du Sud Sainte Baume




Rassemblement avant le départ et examen de l'itinéraire sur les cartes
Premières explications de Jean-Michel
Vue générale du site et du flanc sud du massif de Sainte-Baume
Nouvelles explications de Jean-Michel
On prend la piste U45 en direction du Puits d'Arnaud
Arrivée au hameau du Puits d'Arnaud
Vue de l'aire de battage
Le groupe poursuit sur un sentier de garrigue étroit mais facile
Toujours en pleine garrigue avec des pins d'Alep
Typiques de la garrigue : Genévrier cade et Romarin en fleurs
Les dames marchent prudemment sur la piste devenue caillouteuse
Impossible d'aller au four à cade, pourtant, seulement à 150 m, car une battue aux sangliers est en cours jusqu'en début d'après-midi
Regroupement avant de descendre au Jas de Frédéric
On arrive au Jas de Frédéric
Le Jas de Frédéric, côté sud
Le bassin de rétention des eaux de pluie, devant le Jas
Installation pour la pause déjeuner au Jas de Frédéric
Mais auparavant, Henri explique en détail l'histoire des lieux et de l'ancienne voie Signes-Riboux-Cuges
et Jean-Claude parle de la végétation du massif Sud-Sainte-Baume
Le vin d'oranges fait maison de Jean-Claude a eu du succès
En plein repas
Vestiges d'un four à ?
Un échantillon d'espèces végétales autochtones : dont Thym et Romarin très répandus, 2 espèces de chênes (vert et Kermès), Asperge sauvage, Euphorbe, Filaire à larges feuilles, Dorycnie  à 5 folioles (ou « Badasse »), Daphné Gnidium (ou « Garou »), Brachypode rameux (ou « Baouco »),…
Nouveau départ en direction du puits de la Bouscarle
A gauche, Jas de Frédéric (0,4 km) et le four à cade (1,3 km)
A droite, le puits de la Bouscarle (1,4 km) et Cuges-les-Pins (6,4 km)
La citerne 
et le puits de la Bouscarle [la Fauvette commune, en provençal]
Très profond
Nouvelles explications d'Henri
Espèce de la famille des orchidacées à  racines tuberculeuses : la Barlie de Robert ou « Orchis géant), qui fleurit normalement dès le mois de janvier
Fin de la piste du vallon du Poulet
La balade tire à sa fin
Damien et Chantal
On retrouve les voitures et on rentre au bercail après cette superbe journée








- 26 septembre 2015 : De Châteauvallon au télégraphe Chappe


Rendez-vous sur le parking de Châteauvallon
Jean-Michel explique l'histoire du site de Châteauvallon, devenu lieu de spectacles et de créations
Le château, ancien fortin du XIe siècle, reconstruit en bastide au XVIIe, puis laissé en ruine. En 1964, sous l'impulsion de Gérard Paquet et Henri Komatis, le site est restauré et converti en Centre Culturel consacré à la réflexion, aux arts et à la transmission des connaissances
L'amphithéâtre de plein air
Et c'est le départ. On quitte le parking par un sentier de garrigue en direction de l'ouest
Jean-Claude énumère les types de végétations qui vont être observés au cours de la balade
Au lieu-dit Le Détras : Une mare peuplée de Massettes à larges feuilles, encore appelées roseaux à quenouilles
En face, les ruines d'une habitation
Après une première épingle à cheveux, le sentier s'élève d'abord vers le sud-est
Pour arriver à l'altitude 200 m.
Vue sur les barres du Croupatier
Réservoir et vue sur la rade de Toulon

La longue piste rectiligne qui nous amène de nouveau en direction del'ouest
Un petit point d'eau au bord du sentier
La table de pique-nique nous attend dans le vallon entre la barre de Taillan et le Télégraphe (où nous ne monterons pas)
Sans commentaire
Âpre discussion autour de la carte géologique
Quelques échantillons récoltés en route : Genévrier cade, Asperge, Chêne kermès, Filaire à feuilles étroites,...
Jean-Claude montre une Salsepareille portant ses grappes de fruits rouges
Vestiges d'un four à chaux
Jean-Michel nous lit ses notes sur les fours à chaux
Et c'est le le sentier du retour
De retour sur le parking de Châteauvallon, le groupe se délecte des boissons prévues par Jean-Michel





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Dernière mise à jour : 9 mars 2021

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